Le train du numérique est en marche, et sa vitesse ne cesse d’augmenter. ALTIS a su grimper à bord. Il en naît une mue permanente de ses processus et de ses prestations. Parce que la qualité exige agilité et amélioration continue.
Chez ALTIS, les services digitaux comptent une vingtaine de collaboratrices et collaborateurs, des architectes informatiques, des data scientists, des chefs de projet, etc. Leur savoir-faire s’intègre à toute l’entreprise, de l’administration au service clients en passant par l’infrastructure ou la gestion technique du bâtiment. L’équipe est emmenée depuis plus de deux ans par Pascal Cadet, directeur des services digitaux, qui s’attache à relever les importants défis du secteur tout en « embarquant tout le monde dans une aventure qu’il s’agit de comprendre », ajoute-t-il.
Instiller la dimension digitale, élargir le champ des possibles
« Notre secteur n’a cessé de croître ces dernières années, car la digitalisation est partout. Ce nouveau ciment de nos activités offre une véritable valeur ajoutée à tout ce qu’il touche. » Pour l’intégrer au mieux, au bon endroit, au bon moment, et en tirer le meilleur, il s’agit de bien connaître les mondes qui seront touchés par le changement, et d’éviter toute vision parcellaire pour jouer la carte de l’intelligence collective.
« Si nous travaillons sur un projet qui implique de l’automation, et que nous le réfléchissons sans y instiller la dimension digitale, il sera rapidement obsolète. À l’inverse, intégrer cet aspect, c’est élargir le champ des possibles, qu’il s’agisse de la collecte des données, de la connexion à d’autres interfaces ou encore de l’outil décisionnel qui en découle. »
Chez ALTIS, le train de la digitalisation circule dans tous les étages, et colore l’entier des processus. « Nos flux sont accélérés, on répond mieux et plus rapidement à nos clients, on gère plus efficacement l’administration, on offre aux gens des données détaillées sur leurs consommations, on aide les entrepreneurs à mieux gérer leur outil de production, etc. » Et ce n’est qu’un début.